Nuit de la poésie

Mesdames, mesdemoiselles et messieurs, s'ouvre ici une nuit (ou plutôt soirée) de poésie. Que vous soyez joyeux ou mélancoliques, nostalgique ou avant-gardiste, grand écrivain ou sim ple amateur, venez nous faire partager vos pensées et vos émotions. Personne ne rira de vous ou ne vous jugera, déversez sur nous une partie de vous pour que l'on se réjouisse ensemble ou que l'on vous aide à porter vos fardeaux.

Laissez-moi inaugurer avec une fable qui nous rappelle l'importance de nos amis contrairement à la futilité de l'argent.

Remords d'un homme

Un honnête homme plein de richesses
Ayant femme, enfants et paresse
Travaillait sans relâche à s’en rendre malade
Et sa vie finit par lui sembler fade.

Bien qu’étant sans manques et riche,
Il continuait à trimer avec sa pouliche*
Limitant les contacts avec ses aimés
Par manque de temps, il était occupé.

Un jour, hélas, il paya très cher
Son manque d’instant avec ses pairs.
Tout bonnement sur la rue, il se fit enfermé
La guerre prenait sa vie et ce qu’il a aimé.

Dans sa pièce close en compagnie de quatre murs,
Il se trouvait seul avec ses souvenirs.
Ses pensées n’avaient pas de quoi le faire rire.
Pour lui, cette cellule fut une drastique cure.

«À quoi me sert maintenant mon argent
Alors que je vis dans le passé.
Viendra-t-il à moi pour me sauver?
Ici, il ne sert à rien d’en avoir comme avant.

Ce que j’avais, je ne l’ai plus sauf en mémoire
Croyant que toujours, ils seraient à mes côtés.
Maintenant que mes proches m’ont été enlevés,
Je pense à des moments fictifs et je broie du noir.»

Cet homme encore aujourd’hui est en ce lieu
Un jour bien trop lointain, il pourra s’en extirper.
Pour l’instant présent, il ne peut que penser à eux
Ne pouvant qu’imaginer ce qui aurait du se passer.

* «Pouliche : jument non adulte», Le Larousse de poche 2002 et pas autre chose.

Ce ne sont pas vraiment des poésie mais c'et tout comme:

Si un jour je meurs et qu’on m’ouvre le cœur,
On pourra lire en lettres d’or, je t’aime encore.
_

Je vis pour toi, tu vis pour un autre,
Je n’ai plus d’espoir, je suis mort de désespoir
_

Nous n’y pensons pas, mais nous nous adorons,
Nous ne nous le disons pas, mais nous nous aimons
_

Pour moi, tu es là, un ange au soleil
Pour toi, je n’étais rien, qu’un passant de chemins
_

Je te voie, tu ne me voies pas
Je te sen, tu ne me sen pas
Je t’aime, tu ne m’aimes pas
_

Si tu m’aimes, tu me l’aurais montré
Car moi c’est déjà fait
_

Elle aimait la vie, il vivait pour elle
Elle connaît la mort, il est mort de la connaître
_

Si l’amour rendait aveugle,
Je ne t’aurai jamais vu
_

Il n’existe que toi
Dans mon monde à moi
_

C'est amateur mais j'aime bien!
J'ai aussi de vrais poésie mais je les gardes pour plus tard

SOLDAT

un coup de fusil retenti sur lui
tiré parce qui deviendra plus tard le soldat

dirigé par son fusil le soldat etegnie le soufle de son ami
la vie cruelle cruelle celle du soldat

de ulrik

un peu court

mais cvous l' a trouvé comment ?

le zuridis

un zuridi n' est pas le plus fort qu' on voit au port
une zuridi n' est pas une fille garnie

un zuridi est un homme gentil
une zuridi est une femme profitable

un zuridis fait pas la loi au port mais sur les bordures des chantiers et des marchés
une zuridis ne fait pas la loi a la cusine mais au zauberge ou au burau

un zuridis est trés sosiable
une zuridis trés charmante

bref le zuridis est une perssone abordable a table


voila je commence dans la poesi vous en pensez quoi ?

Le RP de Julinis où il raconte qu'il est orphelin m'a fait réfléchir. Souvent, les enfants (et surtout à l'adolescence) se disent qu'ils seraient tellement bien sans parents et qu'ils voudraient ne pas en avoir. Mais je me suis demandé qu'est-ce que ça donnerait si c'était réel, si on était orphelin. Et ça a donné ça.



Pas de père qui coupe ton cordon ombilical les yeux pleins d’eau avant de s’évanouir, pas de mère qui, bien que totalement vidée, te prend dans ses bras et te fait le plus beau sourire du monde

Pas de mère qui te change de couches au moins vingt par jour, mais t’adore quand même, pas de père qui se réveille à deux heures du matin pour te faire bouffer et se faire dégobiller dessus

Pas de père qui te prend par la main lors de tes premiers pas, pas de mère qui s’extasie devant tes premiers mots

Pas de père qui fait illuminer ton visage en te montrant ta première bicyclette, pas de mère qui t’écoute redire merci depuis des heures parce que c’était exactement celui que tu voulais

Pas de père qui te tient par la main pendant que tu es sur ce même vélo, te donne une petite poussée avant de te regarder s’éloigner seul en direction du gravier, pas de mère qui accourt en entendant tes cris, te couvre de baisers, te met deux pansements et te laisse repartir

Pas de mère qui te prend par la taille dans la piscine et te permet finalement de retirer tes flotteurs, pas de père qui veut te montrer comment sauter du cinq mètres et atterrit sur le ventre

Pas de mère qui te serre, ou plutôt t’étouffe, avant de te laisser partir pour l’école la première fois, pas de père qui te demande comment a été ta journée et t’aide à faire tes devoirs

Pas de mère qui t’appelle pour le souper alors que tu joues avec tes amis, pas de père qui te construit une cabane dans l’arbre

Pas de mère qui te surprend en train de fumer, pas de père qui te donne la fessée de ta vie

Pas de père qui te répond patiemment quand tu lui poses des question parce que tu es très inquiet des changements physiques que tu rencontres, pas de mère qui fait semblant de ne pas comprendre quand tu lui parles d’un ami qui se pose des questions sur les filles

Pas de père qui te fait tellement confiance qu’il te passes les clés de la charrette familiale, pas de mère hystérique à l’arrière qui te supplie de ralentir quand tu vas à .5 zivihare/heure

Pas de mère qui te répète pour la énième fois que tu es beau comme un cœur avant ton bal de promo, pas de père qui fait semblant de ne pas s’intéresser à cela, mais qui t’observe attentivement tout en zappant depuis une heure et demie

Pas de mère qui, la voix coupée de sanglots, te récite une centaine de conseils avant que tu quittes la maison, pas de père qui passe par-dessus son propre déchirement pour te faire un dernier discours à propos de voler de ses propres ailes

Pas de père qui te montre les quelques trucs à réparer dans ton premier logement, pas de mère qui fait semblant d’adorer ton appartement, puis tousse une dizaine de fois à cause de la poussière

Pas de père qui gruge dans son fond de pension parce que tu es dans le rouge jusqu’au coup financièrement, pas de mère qui te prépare les repas pour toute la semaine

Pas de père qui a fait le chemin depuis l’île des Zuridis pour être ton témoin lors de ton mariage, pas de mère qui, bien qu’ extrêmement triste de perdre son bébé, accepte avec un large sourire l’amour de ta vie dans sa famille

Pas de mère plus effondrée que jamais qui passe de longues heures à pleurer dans tes bras à cause du cancer de son mari, pas de père qui, sur son lit de mort, t’offre comme dernières paroles qu’il est on ne peut plus fier de toi, que tu es la réussite de sa vie et qu’il t’aime

Mais surtout, pas de parents qui t’adorent malgré tous les sacrifices qu’ils ont consentis pour toi, toutes les épreuves qu’ils ont vécus à cause de toi, toutes les fois que ta mère s’est couché en sanglots grâce à toi, toutes les fois où ils ont été blessés par les paroles ingrates venant de toi

je demande juste à qui lira de lire jusqu'au bout ... merci


Solitude en foule

Naissance ? Début parmi tous
Mais début de quoi ? de la vie
Nombreux les bébés dans la nurserie
Mais aucun n'a les mots pour la partager

Enfance ? Début des mots
Mais début de quoi ? de dialogue
Nombreux sont les enfants dans la cour d'école
Mais combien restent seuls dans leurs corps et dans leur tete ...

Adolescence ? Début de l'esprit
Mais début de quoi ? des sentiments
Nombreux sont les copains et copines
Mais combien de "bons amis" restent au ban de l'amour ...

Majorité ? Début de l'indépendance
Mais début de quoi ? des décisions
Nombreux sont ceus qui jurlent de joie à leur "libération"
Mais combien regrettent vite la protection du cocon maternel ?

Travail ? Début des salaires
Mais début de quoi ? de l'ambition
Nombreux ont une énergie et des espoirs énormes
Mais combien pleurent le soir de devoir se battre contre leurs collegues ?

Passion ? Début des amours
Mais début de quoi ? des peines
Nombreux ont trouvé l'ame soeur
Mais combien ont bu leur désespoir aussi ?

Retraite ? Début du repos
Mais début de quoi ? la dernière courbe
Nombreux sont ceux qui n'en arrivent pas là
Mais combien sentant la fin ne les envient pas ?

Poesie ? Début de philosophie
Mais début de quoi ? de la sagesse
Nombreux trouveront ce poeme triste
Mais combien y verront leurs raisons d'etre heureux ?

en esperant ne pas faire lettre morte car ces quelques mots sans grand talent expriment quelque chose que j'ai au fond de moi et que je vous donne en l'état

La mort


La mort je l’ai vu tant de foi défilé
Aujourd’hui elle vient me cherché
Pour m’emmener soit dans les limbes de la souffrance,
Ou bien dans le paradis des transes

Mon souffle est saccadé,
Mon univers s’écroule sous la foulée.
J’entend mes connaissances pleuré mon innocence,

Puis plus rien… La mort m’a rattrapé,
Je me dirige vers cette lumière,
Que tant de personnes ont regardé.
Mon seul regret est de ne pas te l’avoir dit plutôt,
Je t’aime...


Pour ce qui n’ont pas compris la dernière phrase le monsieur est mort avant d’avoir put dire je t’aime à la personnes qu’il aimait

En voila un que j'avais fait pour ma maman,

Une Maman, Une Etoile


Quand ressurgissent les douleurs du passé,
Ton coeur se met a saigner, a nouveau,
Au travers de ces plaies non cicatrisées,
A l’ origine de tous ces terribles maux.
Quand disparait un être cher a ton coeur,
S’ allume dans le ciel une nouvelle étoile.
Elle t’ éclairera a jamais d’ une tendre lueur,
Une aura bénéfique quand ton esprit se voile.
Rien ne remplacera jamais l’ amour d’ une maman,
Elle qui t as mis monde, et appris ce que tu sais.
Rien n’ est plus fort et noble que les liens du sang,
Elle est parti trop vite mais ne t as pas abandonnée.
Son esprit sera toujours a tes cotés pour d’ épauler,
Son ame continue éternellement de veiller sur toi.
De merveilleux souvenirs dans ton coeur a jamais,
Prendront le dessus sur cette douleur, ce dessaroi.
La vie, même si elle te semble vile et cruelle doit continuer,
Cette dure et difficile épreuve t’ as fragilisée énormement,
Mais je sais que tu as la force en toi pour réussir a avancer,
Continuer de faire vivre sa mémoire a travers toi maintenant.
Ma douce maman, tu n es pas seule face a ce destin tragique,
Je t’ accompagne toujours dans la joie ou dans le malheur.
J aimerai tant tout inverser d’ un coup de baguette magique,
Te voir a nouveau sourire a l’avenir, et renouer avec le bonheur.

Cela est un problème personnel je ne dirai rien sur le thème choisi et pourquoi je l'ai chosi

en voici un autre :

Petite fille
Petite fille est malheureuse,
Résultat d’une peine amoureuse,
Mais petite fille garde le sourire,
Pour cacher son envie de mourir,
Petite fille fait comme-ci,
Mais pense comme çà.
Petite fille reste ici,
Mais veut partir là-bas.
Mais petite fille trop malheureuse,
Tente de faire sa courageuse,
Et pour ne pas pleurer,
Elle commence à se couper.
Un jour petite fille appuie sur le couteau,
Pour arriver à partir là haut,
Mais petite fille quitte la Terre,
Pour descendre en enfer....

en voici un autre que j'ai inventer aujourd'hui :

Enfant battu

Un enfant battu
C’est une fleur fanée
C’est un coeur qui n’a plus
La force d’aimer.

Ce sont des larmes qui tombent
Sur un visage meurtri
C’est un enfant dans l’ombre
Qui a mal pour la vie.

Un enfant sans sourire
Cache en lui sa douleur
Il ne voudrait plus vivre
A travers toutes ces peurs.

Je déplore les gens sur terre
Qui apaisent leurs colères
Sur de pauvres innocents
Qui ne sont que des enfants.

Ne me gronde pas Bemasirou mais j'en ai encore un autre :


Ame perdue.
Seul’, perdue sur le bord de cette fenêtre,
La nuit noire m’entoure et le froid me saisi,
Tel un cauchemar qui envahit tout mon être,
Seul’ sur ce rebord, abandonnée, sans amis.

Un frisson me parcours, mais je ne bouge pas,
Immobile, impassible, et seule dans le froid.
Mes larmes coulent sur mon visage glacé,
Je suis si fragile, perdue dans mes pensées.
C’est à cause de toi, si drôle et si gentil,
Que ce soir, seul’, sur ce rebord, je pleure ainsi,
Toute une nuit peut-êtr’, si je ne m’endors pas.

Pourtant, sous les étoiles, je succombe au sommeil,
Endormie, je glisse, virvoltant à merveille,
Ainsi par ta faute je meurs, ne l’oublie pas.

Interpreter cela comme vous le voulez...

tout d'abord bravo ! je rejoins bema dans ses éloges !!

tu me diras si tu es d'accord mais je crois que pour qu'un poème soit réussi il doit toucher celui qui le lit et pour cela il doit venir du coeur de l'auteur et non de son cerveau

Parle mon coeur
Epuises tes larmes
Par ici ma soeur
Essuies mes larmes

Regarde mon chagrin
Ecoutes mes peines
Faisons ce chemin
La route n'est pas vaine

Comment te remercier
De raviver mes joies
Ma soeur un baiser
Par amour pour toi

Voila un petit poeme très simple composé en direct pour vous car lorsque j'ai de la peine ce qui malheureusement frappe toujours trop souvent il est tellement agréable d'avoir une personne proche pour vous soutenir sans vous plaindre ... et ces moments là vous restet dans le coeur comme une cicatrice sur la peau !

Et donc vous pouvez retrouvez ces peines et ces joies pour exprimer un sentiment sincère dans un poème

je suis sure bema que toi aussi tu as connu sujet à poème ... laisse seulement parler ton coeur seul et sans censure, n'aie pas honte de te donner à tes lecteurs

merci merwin !

En voici un autre...

L'avenir se construit...
L'envie d'écrire depuis un moment m'a quittée,
La vie n'est que ombre qu'il faut accepter,
Déçue que personne accepte mon bien aimé,
Déjà dur à vivre, à controler et à affronter,
Seule je dois continuer mon combat,
Devant cette douleureuse espérance,
Qui se réalise peu à peu en silence,
Le bonheur arrive se rapproche à petit pas,
En attandant, la souffrance est la,
Mais à présent je sais qu'on se vera,
L'avenir est en train de se construire,
Voila pourquoi je n'essaye plus de me détruire,
Souvent encore l'envie me prends,
D'achever à jamais mes pleurs,
Et stoper définitement le temps,
Pour ne plus rencontrer la peur,
Le bonheur se construit,
J'ai mal mais mon coeur vit...

voici un autre poème qui vous emporte telle une bohème.... et qui dérive aux larges des plaines....


L'humanité et le combat
Depuis toujours a existé le combat
Que se soit le samouraï avec son katana
Ou bush avec son bazouka
Mais toujours regrettable fut le résulat
Le samouraï se bat pour l’honneur
Et bush soit-disant pour le bonheur
Malheur à ceux qui débutent un combat sans raison
Et pittoyable sont ceux qui le délaisseront
Parfois le combat n’est pas impartial
Car avec la diférence entre la roche et le métal
Pour celui-ci, le resultat ne peut être que mortel
Vu qu’avec eux, combat l’Eternel
Mais lorsqu’il est à arme égale
Comme avec 2 troupes en choque frontale
Le résultat ne sera que de plus déplorable
Et les vies perdues encore plus regrétables
Oublions notre haine
De même que nos peines
Et laissons nous guidés par l’amour et l’amitié
Car ce sont les seuls choses qui méritent d’exister
Faisons place à la tolérance et à l’égalité
Et évitons de commetre les même pêchés
Et surtout heureux sont ceux qui comprendront d’eux-même
Que le combat le plus difficile est celui que l'on se livre avec soit-même.

et enfin voici ceux d'ulysse1 qui n'a pas voulu les posté :



L'homme a la pierre

Il plonge dans les profondeurs
Comme un soumarin descend au abisces.
Une derniére larmes traverse son coeur
Et le voila parti au pays d'Anubis.

2

La guerre

Elle rase tous sur son passage
Comme une tornade dans son sillage.
Mais elle ne choisie pas l'espérance,
Elle préfére la mort et la soufrance.
Laissant des cicatrice profondes,
C'est comme sa qu'elle ravage le monde.

3

Partir

Je dois partir,
Et je n'ai pas pu choisir.
Tous ce que j'ai connu,
Je ne la reverrais surment plus.
Et mon amour
me manquera un peu plus chaque jours.

4

La Mort

Elle te colle a la peaux
Depuis que tu est parmis nous,
Elle te suis avec sa faux
Et son serviteur l'Ankou.
Tu as bo te cacher,
Elle saura te trouver,
Et quand elle choisira ton heure
Tous s'arrêtera même ton coeur.

5

Balle perdu

Un retentissement,
Elle devait toucher un fan
MAis en croisant une pierre,
Elles est partie vers la clairiére.
La bas debout 2 amourreux s'enlasse,
C'est alors qu'elle arrive et la fille trépasse.

En voici un autre,
qui vole vers mes hôtes,
pour qu'il puisse le lire avec un sourire....



Il y avait un cygne

Il y avait un cygne qui déployait ses ailes
Auscultant au miroir de l’eau ses plumes blanches
Il voguait en famille, suivit de sa nouvelle
Tribu d’anges fragiles scellés contre ses hanches.


Il y avait un cygne dans ce décor magique
Qui ornait ma maison du bleu des océans
Il y avait ma fille près du lac idyllique
A l’intérieur des bois flottaient des rires d’enfants.


« Elle a tendu la main », m’a dit la boulangère…
Elle voulait effleurer son plumage soyeux
Et la brume ce jour fit transpirer la terre
Près du lagon glissant où tout semblait heureux.


Il n’y avait qu’un pas entre elle et l’animal
Il y en avait bien plus entre son corps et moi
Ce fut d’un cri perçant que j’accueillis le mal
En voyant émerger son long manteau chamois…

J’avais le sentiment que le cygne riait
Faisant valser sa queue, les plumes en éventail
Il paradait gaiement sur son maigre reflet
Attendait il un geste ? Ou peu être une médaille…

Il aura eu la chance de pouvoir la guider
Jusqu’au dernier soupir de son cœur pantelant
Et chaque jour je dis, aux curieux, aux passants
Que c’est un cygne blanc qui a prit mon enfant.

en voici un autre très triste lisez-le :



Elle aimait la vie il aimait la mort

Il aimait la mort, et ses sombres promesses
[b]Avenir incertain d'un garçon en détresse,
Il voulait mourir, laisser partir sa peine,
Oublier tous ces jours à la même rengaine...

Elle aimait la vie, heureuse d'exister,
Voulait aider les gens et puis grandir en paix,
C'était un don du ciel, toujours souriante,
Fleurs et nature, qu'il pleuve ou qu'il vente.

Mais un beau jour, la chute commença,
Ils tombèrent amoureux, mauvais choix,
Elle aimait la vie et il aimait la mort,
Qui d'entre les deux allait être plus fort?

Ils s'aimaient tellement, ils auraient tout sacrifié,
Amis et famille, capables de tous renier,
Tous donner pour s'aimer, tel était leur or,
Mais elle aimait la vie et il aimait la mort...

Si différents et pourtant plus proches que tout,
Se comprenant pour protéger un amour fou,
L'un ne rêvait que de mourir et de s'envoler,
L'autre d'une vie avec lui, loin des atrocités...

Fin de l'histoire: obligés de se séparer,
Ils s'étaient promis leur éternelle fidélité.
Aujourd'hui, le garçon torturé vit pour elle,
Puisque la fille, pour lui, a rendu ses ailes...

Il aimait la mort, elle aimait la vie,
Il vivait pour elle, elle est morte pour lui

L'innocent

Entre quatre murs,
Un homme plein de brulures.
IL pleur en silence
Sa totale innocence.
Des soldat arrive et l'amméne sur une rive,
Le signal retentit
Et le voila partit au paradis.



L'execution

Le voila debout
Un bandage sur les yeux,
Il aurait pu avoir la corde au cou
Mais préfére les coups de feu.
Il n'a aucuns remords
Et n'attend que la mort.
Il a planté un coeur
Pour qu'il ne souffre plus de toutes ses meurs.
Il est heureux et plein d'honneur
N'attend que cette heure
Ou la balle partira
Et ne l'épagnera pas.

en voici un autre :


Larme de sang
Dans l’épaisse et opaque noirceur
Se repose, culpabilisée une jeune femme
Dans l’espoir d’évanouir ses peurs
S’infflige une abomination infame
Pour se punir des erreurs comises
Elle tend la lame blanche vers son bras
Se remémorant les paroles impermises
La froideur de l’acier ne l’affecte pas
La lame glisse sur sa peau fébrile
Déchirant sa chair imbiber de pêchers
Une larme perle sur l’endroit subtile
Le coeur meurtri, d’insolubles pensés
La peau flétri, d’inoubliables cicatrices
Espérant calmer cette situation pénible
Espérant s’anéantir par ce supplice
Elle continu de déchirer son corps sensible
La raison la quitte, elle doit souffrir
Pour apaiser ses ressentiments indélibiles
Le bras écorché à vif, elle ne pense qu’à mourir

et encore un autre :

Délivrance

Dans ma tête, tout ces souvenirs se remémore
Envahisse complètement mon cœur et ma vie
Et alors que la douleur parcours mon corps
Je ressors de ma cachette mon ami
Alors que toutes mes blessures s’ouvrent en moi
Le sang coule à l’extérieur
Encore cette fois, je ne comprends pas
Pourquoi autant de bien me fait cette douleur
Le soulagement envahi toute mon âme
Alors que sur moi les gouttes vermeilles perlent
J’abaisse lentement mon âme
En entendant ma peau qui l’appelle
Je garde en moi cette douce délivrance
Par peur d’être mal jugée
Mais comprenez, cette souffrance
C’est la seule que je peux contrôler
Et quand le sang tombe de mon poignet
Quant la douleur du corps remplace celle du cœur
Je sens qu’avec les problèmes quitte mon chevet
Me laissant seule avec une parcelle de bonheur
Je m’effondre doucement au sol, les larmes au yeux
Pleurant de honte le geste que j’ai porté
Mais pour moi qu’est-ce qu’il y a de mieux?
Mourir ou me mutiler…


Ps : en voyant mes poèmes, beaucoup de gens pense que je suis gauthique et même que je vis cela, mais je suis parfaitement heureux...seulement toutes les personnes n'ont pas cette chance
....c'est pourquoi ce sujet me tient vraiment à coeur en faisant des poèmes, je dédie un vrai message.... je relate la vérité non pas chez moi mais chez autrui.... je veux que le monde entier sache à quelle point la détresse de ses gens est grande et que quelqun leur viennent en secours....

malheureusement Merwin la douleur et la peine n'attend pas toujours l'age ...

je vais vous donner ma pensée sur les gothiques (entre autres)

Pourquoi moi ?

Je suis née telle que vous me voyez
Et ainsi j'espere partir
Je n'ai cesse de batailler
Lassée de me travestir

Je suis née telle que vous me voyez
Inconsciente d'etre differente
Ignorante j'aurais préféré
Le rester dans cette attente

Je suis née telle que vous me voyez
Et ne peut me changer
Vous ne voulez m'accepter
Et je ne veux pas changer

Je suis née telle que vous me voyez
Et j'ai tout enduré
Ainsi je resterai
Car c'est ma nature vraie

Je suis née telle que vous me voyez
Controlez votre horreur
Car ainsi habillée et grimée
J'irai sans aucune peur

Je suis née telle que vous me voyez !
Pourquoi moi ?
Car je suis la pour oeuvrer
A m'en donner le droit !

Soyez vous meme sans faiblir ! gothique ou tout autre chose battez vous pour vos droits à etre differents simplement !

en voici un cour(je n'arrive pas encor a en fair des longs)

Larme
Elle coule ardente
Et sur ses joue serpentes,
Cette larmes brûlante
Un Djin la hânte.
(Djin: esprit de feu je ne sais plus où)

voici mes 2er long

Sans son Amour

Sans son amour,
Il s'éloigne de la vie un peu plus chaques jours.
Chaques jours il va sur sa tombe
Et repense à cette écatombe.
Quand il repense a tous ce sang
Il se demande pourquoi le siens n'était pas dedans.
Sa belle a été tué,
Pourquoi lui ne l'a pas été?(j'hésite aussi avec "mais lui a résisté")
Il aurait voulu agir
Mais n'arrivait plus a courrir.
Maintenant il attend,
Que sa mort arrive lentement.
Il ira au paradis
Et regoindra sa cher et tendre amie.

voisi mon dernier du jour.


Canon

Une détonation,
C'est un coup de canon.
Autrfois ce qu'il tiraient
N'était que grenaille et boulet,
Aujourd'huis les obus
Déchire tout ennemis en vue.
Pour certains les soldats
Qui tombe aux combas,
Qui ce battent au front
Ne sont que de la chair a canon.

Faites l'amour pas la guerre

Pourquoi est-ce si compliquer
D’apprendre à aimer
Pourquoi avons-nous tant de difficultés
A changer ce monde effrayé
On sait que le monde est immonde
Que la Terre n’est plus ronde
Mais nous ne faisons rien
Nous ne tendons même plus les mains
S’il vous plait aidez moi
Faite renaître la foi
Faite l’amour pas la guerre
Faites le toujours sur toute la Terre
J’aimerais que tout ces tirs s’arête
Pendant que des gars appuient sur la gâchette
Pourquoi la vie n’est pas qu’une fête
Pourquoi la guerre n’est pas obsolète
Faite l’amour pas la guerre
Faites le toujours sur toute la Terre
Je vous en prie faites régner la paix
Je vous en supplie, l’amour existe on le sait
Je voudrais que les sourires soient éternels
Et que les tirs ne soient plus habituels
Quel malheur, quelle misère
Vivent ses tireurs dont des pères
Pour tuer femme et enfants
Mais qui sont ces gens ?
Faite l’amour pas la guerre
Faites le toujours sur toute la Terre
Rendez nous a nouveau fier
D’une si belle Terre

Faites l'amour pas la guerre

Pourquoi est-ce si compliquer
D’apprendre à aimer
Pourquoi avons-nous tant de difficultés
A changer ce monde effrayé
On sait que le monde est immonde
Que la Terre n’est plus ronde
Mais nous ne faisons rien
Nous ne tendons même plus les mains
S’il vous plait aidez moi
Faite renaître la foi
Faite l’amour pas la guerre
Faites le toujours sur toute la Terre
J’aimerais que tout ces tirs s’arête
Pendant que des gars appuient sur la gâchette
Pourquoi la vie n’est pas qu’une fête
Pourquoi la guerre n’est pas obsolète
Faite l’amour pas la guerre
Faites le toujours sur toute la Terre
Je vous en prie faites régner la paix
Je vous en supplie, l’amour existe on le sait
Je voudrais que les sourires soient éternels
Et que les tirs ne soient plus habituels
Quel malheur, quelle misère
Vivent ses tireurs dont des pères
Pour tuer femme et enfants
Mais qui sont ces gens ?
Faite l’amour pas la guerre
Faites le toujours sur toute la Terre
Rendez nous a nouveau fier
D’une si belle Terre

nous sommes toujours en haleine bema ... s'il te plait nous attendons avec tellement d'impatience

sinon voici : ESPOIR

aimez la vie mes zamis !
ne cedez pas aux angoisses
aimez la vie mes zamis !
tout un jour se passe

lorsque la peur vous saisit
pensez a votre amour
lorsque vous ressentez l'envie
faites un detour

aimez la vie mes zamis !
goutez ses joies
aimez la vie mes zamis
et ce a chaque fois

lorsque le rire vous prend
laissez le bondir
lorsque l'amour vous surprend
ne faites pas que sourire

aimez la vie mes zamis
mais pas tout seul
aimez la vie mes zamis
sans autre eceuil

devant les epreuves
trouvez vos zamis
apres la victoire
trouvez les aussi

aimez la vie mes zamis
comme je vous aime
aimez la vie mes zamis
toujours et quand meme

sincerement je remercie les personnes ici presentes car leurs poemes montrent leur grande sensibilité et donc leur coeur genereux ! ce poeme est pour vous et vos zamis et les zamis de vos zamis etc ...